Suite à la sortie de mon dernier ouvrage “Les gentils aussi méritent de réussir” (Alisio), j’ai eu le privilège d’échanger avec Anne-Laure Drouard-Chanel sur une émission de la chaine radio RCF (que vous retrouverez ici).
La définition de la gentillesse
Notre discussion a démarré par la recherche d’une définition claire de la gentillesse. Quelle est la différence entre gentillesse et bienveillance ?
Qu’est-ce être gentil ? Au contraire, qu’est ce que la “fausse” gentillesse.
La gentillesse : une force et pas une faiblesse
La gentillesse est une qualité qui se cultive et qui demande de la force. En effet, être gentil c’est aussi être authentique, humain et donc vulnérable. Cette ouverture à soi et sur les autres génèrent à la fois des opportunités et des risques, d’où l’importance de savoir se protéger, se solidifier face aux difficultés que la gentillesse peut générer.
C’est pour cette raison que les gentils assumés et affirmés sont forts, et pas des “loosers”.
Oser être gentil, c’est devenir plus résilient
Comme je l’expliquais plus tôt, être gentil demande du courage et de la force pour faire face aux risques et aux déconvenu.
Par conséquent, tout naturellement, lorsque l’on ose la gentillesse de manière assumée, authentique et prolongée dans le temps, on développe également sa résilience : se capacité à faire face à l’adversité et à rebondir !
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